"La suite de notre saison dépendra du résultat, face à Gand. C’est, peut-être notre dernière chance. Nous devrons jouer avec le cœur et pas seulement avec les jambes.
Face à Anderlecht, nous n’avons pas trouvé l’équilibre. Nous devons être des guerriers et nous créer des occasions. On ne peut plus être trop prudents.
Nous avons connu une mauvaise période et nous n’avons pas su gérer les résultats. Nous devons apprendre à faire cela et, de la sorte, prendre des points. Il faut faire preuve de maturité et trouver la façon de ne rien laisser à l’adversaire.
Nous sommes capables de belles choses et, parfois, de mauvaises. Nous devons apprendre à gérer les petits détails et devenir réguliers. Pour ces quatre dernières rencontres, nous devons être solidaires. C’est la seule façon de prendre des points.
Mes débuts à Charleroi furent assez difficiles. Nous ne savions pas où nous allions.
Avec la nouvelle direction, les choses ont changé. Nous avons trouvé la stabilité et le Sporting grandit de jour en jour.
Avoir un coach qui dure et qui suit ses schémas tactiques est, également, un plus.
Avant de prendre ma retraite, j’aimerai décrocher un titre ou jouer, à nouveau, une Coupe d’Europe.
J’essaye de ne pas penser à ce jour-là et je joue match par match. Mais, quand tu ressens certaines douleurs, après un match, tu y penses un peu.
Nous ne sommes pas fatigués mentalement. Nous devons juste apprendre à gérer les PO1. À l’exception de notre déplacement à Bruges, je n’ai pas vu une équipe nous être largement supérieure.
Le football, c’est 80 % de psychologie. Nos résultats n’ont pas toujours été au top. Mais dans nos têtes, nous sommes prêts. Mathématiquement, tout est encore possible pour atteindre les objectifs que nous nous étions fixés."
