Ce mardi matin, le jour n’était pas encore levé que Philippe Simonin avait donné rendez-vous aux Zèbres pour un bon footing – d’environ trois quarts d’heure – dans la vaste réserve naturelle, proche du Parador El Saler.
L’air pur de la Méditerranée, le doux parfum des pins, le léger bruit relaxant des vagues qui s’échouent au pied des dunes sauvages… Bref, les Zèbres ne s’y attardèrent pas et dès leur retour, quelques exercices d’étirement des adducteurs animèrent, d’une manière originale et inhabituelle, le parvis de l’Hôtel.
Le programme de ce début de journée influençait donc le timing de la première séance d’entraînement, décalé d’une demi-heure par rapport à celle d’hier.
Celle-ci fut inaugurée par des échanges, une-deux, remises simples et, ensuite, de volée avec contrôles poitrine/cuisse, tout en restant en mouvement. Le travail fut ponctué de remises de la tête avec détente.
La seconde partie consista en une opposition, six contre six, en trois touches de balle. Selon l’évolution du match, l’une des deux équipes devaient faire en sorte de bien se positionner par rapport à l’autre, en fonction de la supériorité numérique. Les coups francs furent également travaillés et Mehdi Bayat se laissa même tenter à botter des penalties !
Quant aux gardiens, ils se virent équipés d’un harnais de résistance afin de tester, encore plus, leur capacité de réflexes dans l’intensité de leurs prises de balle.
L’entraînement de 16 h 30 comportait une première séquence émaillée de plusieurs joutes en une touche de balle – d’une durée de 1 minute 30 – opposant trois formations (bleus/noirs/oranges), dont une libre, sur une surface délimitée de cônes aux couleurs différentes. On ne vous dira pas quelle équipe l’a emporté, afin de ne pas jalouser les autres !
Enfin, la seconde se démarquait par un jeu avec longs ballons et contrôles orientés, suivi d’une confrontation énergique sur un tiers de terrain.
Intensité, précision et coordination… Vale, eso es todo por hoy (Ok, c’est tout pour aujourd’hui) !