Ah… La balance (tant redoutée ?) a fait son retour, ce matin, avant le petit-déjeuner ! Quelle étrange préoccupation – ou contrariété – peut-elle provoquer dans nos habitudes alimentaires… Et surtout, dans celles de joueurs de football professionnels ! Bref, on ne va pas commencer à disserter sur la prise de conscience que l’on peut adopter sur ce simple appareil – qui ne montre que des chiffres – mais qui a toute son importance chez les sportifs de haute compétition.
Les Zèbres s’y prêtèrent donc, également en toute simplicité et… conscients de leur excellente condition physique, sans aucune retenue psychologique !
La séance de ce matin comprenait un détour – vivace, sur le plan de l’impulsivité – par la belle plage de sable fin bordant la Méditerranée…
L’ensemble des joueurs – à l’exception de Joachim Imbrechts et Stergos Marinos, pour cause de travail individuel – participa, pendant une demi-heure, à des épreuves de vitesse avec passage de relais. Après de purs moments de liesse collective, les Zèbres reprirent le sentier du retour vers leur terrain d’entraînement.
Il était aux environs de 10 heures 30 lorsque Samba Diawara prit, sous la supervision de Mario Notaro et de Felice Mazzù, les commandes pour des travaux d’enchaînement – incluant un jeu de remises à l’intérieur, en circuit fermé – agrémentés d’orientations et de réductions de distance dans le passing.
Ensuite, le T3 du Sporting proposa des variantes avec un autre exercice de passing en diagonale, avec accélération dans les espaces, pour clôturer sur un travail concentré sur les positions hors-jeu, le tout sur un demi-terrain, les deux buts étant disposés de part et d’autre, au-delà des demi-cercles.
Quant à l’entraînement de 16 heures, Felice Mazzù et son staff avaient concocté un programme sollicitant, une fois encore, les quatre buts comme lors de la session matinale de ce dimanche. Toutefois, ceux-ci étaient disposés dans une configuration inédite avec des travaux mettant l’accent sur le dynamisme dans les appuis et les interceptions, avec permutation des joueurs dans les espaces où ils étaient destinés à s’exprimer.
Il était 17 h 15 lorsque le coach des Zèbres signifia la remise en place des divers ustensiles et permit ainsi à ses troupes de regagner leurs chambres, un peu plus tôt que de coutume, afin de goûter (au propre, comme au figuré) à un repas et un repos réparateurs… Buenas noches !
