Mr. Bayat, nous inaugurons ce soir la salle Vital Loraux, qui sera réservée aux arbitres….
» C’est un petit geste que fait le Sporting à un très grand Monsieur. Une personne très professionnelle, qui laissera une trace dans l’histoire du football belge, et qui, pour moi, est devenu un ami et est toujours présent. Il manque un peu à notre club, car il se fait plus rare que par le passé. »
Mr. Loraux, avoir une salle à votre nom, c’est une preuve de reconnaissance ?
» C’est avant tout une très grande surprise. Je connais Mr. Bayat, ainsi que sa famille, depuis de très longues années. De plus, cette salle n’est pas loin de chez moi, car je suis né à cinq cents mètres du stade. Ce jour et l’inauguration de cette salle est pour moi un événement émotionnant, un moment magnifique. Je n’en espérais pas autant. »
Suivez-vous toujours le Sporting ?
» À l’heure actuelle, il serait difficile de ne pas suivre le Sporting. On parle de lui chaque jour, dans les journaux. Momentanément, je dois le suivre à la télévision et via d’autres médias, car mes jambes sont un peu fatiguées après avoir couru tant d’années sur les terrains. Désormais, une canne remplace mon sifflet. »
