1-1, égalité, liberté, fraternité parfaite, personne n’est content, personne n’est déçu. Le face à face consommé et consumé, les braises s’éteignent, les rêves s’envolent en fumée et les deux formations s’en retournent dos à dos.
Une sagesse terre à terre ? Un point, vaut mieux que trois, tu n’auras… point. Point à la ligne. Point de discours superflus puisqu’il faut écrire d’autres lignes. Et c’est tant mieux, d’ailleurs, sinon, place à l’ennui. Et l’ennui nuit.
Nuit blanche… Blanche est la Lune… L’une ou l’autre occasion franche nous interpelle… Tiens, en parlant de pelle, on a failli s’en prendre une dans les toutes dernières secondes… Et Sa, on ne l’achète pas !
Les circonstances avaient été telles que Parfait Mandanda avait été mandaté pour se payer la part (faite) des Rouches… Le butin ne fut pas celui tant convoité. Le convoyeur zébré attendra des fonds Malinois plus lucratifs. Du moins, on l’espère. Père Kaveh, Père Cristian et leurs paires, priez pour nous et donnez-nous nos points quotidiens.
Les quotidiens mais aussi les hebdomadaires parlent de nos Zèbres. Deuxièmes, encore et toujours. Deuxièmes dans la hiérarchie. Deuxièmes meilleurs. Et c’est le Mayeur qui est content. Tant que le Sporting est deuxième.
Un nouveau partage ? Et ce n’est pas le Tage qui coule, c’est la bière. Et surtout, c’est toujours mieux qu’une défaite. Et des fêtes, on va encore tous en célébrer. Tiens, on chantera tous « Celebration » … Un nouvel hymne à la gloire de notre nouvel accessit aux Play Off 1 ?
Oui, c’est tout ce qui nous plaît, plaît, plaît, des rencontres passionnantes – où la passion l’emporte sur la raison –, enivrantes – où le choc l’emporte sur la chique –, palpitantes – où le cœur bat de ses coups de sang –…
Il reste trois notes de musique pour soigner et signer la partition. Une partition qui renferme encore trois dernières clés : Malines, Saint-Trond et Courtrai, ça n’a l’air de rien mais ce n’est pas « Fa » « Si » « La » finir.
Malines, Saint-Trond et Courtrai, un triolet et des refrains changeants pour garder la voix. La foi ? On l’a plus que jamais, en nos joueurs, en notre staff, en notre Club.
Il était une fois, un Club, le Royal Charleroi Sporting Club. RCSC. Quatre lettres blanches qui s’inscrivent en grand dans le ciel bleu du Pays Noir. Tous unis sous la même bannière dans une seule direction. Sous la direction de Mehdi et de toute son équipe. On s’y engage !
Suivons la flèche pour le Carrefour de l’Europe. En route pour une nouvelle épopée. Paix aux Zèbres de bonne volonté… Avec la volonté, on y arrivera. Arriva !
We Are Charleroi !