Juste avant la trêve hivernale, M. Bayat constatait avec un bonheur non dissimulé que le Sporting avait d’ores et déjà égalé le nombre de points qu’il avait marqué lors de la phase classique du championnat précédent et qu’avec 9 matches restant à jouer, il ne pouvait logiquement que faire mieux. Ce fut chose faite avec le partage à Courtrai, et mieux encore depuis le succès de samedi dernier face à Genk.
Mais, sans calculette, tous les observateurs avaient évidemment constaté que les Zèbres étaient meilleurs que l’an dernier, comme en attestent notamment les belles performances signées, dont celles des sensationnels mois de novembre et décembre derniers, et le classement qui en découle, avec une place dans le top 6 provisoire. D’ailleurs, voici bien longtemps qu’on ne regarde plus vers le bas du classement, mais bien vers le haut.
Et malgré ce championnat plus serré que jamais, seuls les poursuivants directs des Carolos (et non des moindres avec entre autres Genk, Lokeren et Zulte-Waregem) semblent en mesure de les inquiéter sur le court terme. Voilà pourquoi les gars de Felice Mazzu peuvent s’assurer, dès ce samedi à Malines, d’un maintien que personne (mais alors, là, vraiment personne !) ne voit leur échapper. Et ceci n’est pas une vision pessimiste de l’exercice de nos Zèbres, loin de là… Car mathématiquement se sauver à la 25e journée de championnat (sur 30, pour rappel), ce n’était plus arrivé au Sporting depuis bien des années ! Sur les deux saisons précédentes – depuis la remontée en D1, donc – Charleroi s’était rassuré à l’avant-dernière journée (un partage à Lokeren en 2012-2013, un partage au Stade du Pays de Charleroi face au Lierse en 2013-2014).
Cela venant corroborer ce que nous vous écrivions ci-avant : le Sporting fait mieux… et a toutes les armes pour se surpasser encore !
Tous derrière les Zèbres !