En numérologie, le nombre 4 est symbole de réalisation, de concret, d’ordre, de stabilité, mais aussi d’intransigeance et d’entêtement.
En musique contemporaine, bon nombre de quatuors – composés par définition de 4 membres, donc – ont fait chanter et danser les foules : Abba, les Beatles, les Doors, Led Zeppelin, Metallica, Queen, les Red Hot Chili Peppers… et même Las Ketchup (OK, on déconne, mais les filles de La Tomate sont 4 aussi…) !
En géométrie, le 4 conditionne cet ultime quadrilatère qu’est le carré : 4 côtés de même longueur, 4 angles droits, 4 côtés parallèles 2 à 2. Il nous semblait opportun de le rappeler à une semaine d’un déplacement… au Cercle !
Ne parlons pas de bouquins avec 4 filles pour le Dr March, 4 évangiles dans la Bible, 4 Fantastiques en BD américaine… Même les 3 Mousquetaires étaient 4 !
Au Sporting de Charleroi, le n°4 est porté par Jonathan Vervoort, qui joue de malchance avec sa blessure. Mais le 4, c’est aussi le nombre qui rythme un peu la vie des Zèbres à l’heure d’écrire ces lignes : il a fallu attendre 4 matches sans succès pour enfin l’emporter cette saison en championnat, le matricule 22 affiche 4 points au compteur, 4 joueurs ont déjà marqué (Kitambala, Rossini, Saglik et Fauré)…
Tant qu’à faire, que les troupes de Felice Mazzu accrochent un 4e succès consécutif face à Malines, après les deux succès en playoffs 2 de la saison dernière (0-2 et 3-0) et celui en déplacement Derrière les Casernes (0-3) pour finir en beauté la phase classique du championnat.
Les Zèbres se couperont en 4, avec votre soutien, en T1, T3 ou T…4 !
Tous au Stade ! Tous derrière les Zèbres !