"Tout comme l’ensemble de l’équipe, je me sens bien. Le fait de ne plus avoir perdu depuis un certain temps n’est pas étranger à cela. Si nous parvenons à jouer comme nous le voulons, la victoire est souvent au bout. De plus, le moral et la confiance sont présents. Je suis optimiste pour le match de ce dimanche.
Je ne connais pas, particulièrement, les joueurs de l’Antwerp. Je sais que c’est une équipe jeune et physique. La fatigue ne doit pas être une excuse, nous devons gagner et être intelligents sur le terrain.
Le système utilisé actuellement me plaît. Il me permet de jouer de la façon dont j’aime jouer. Mes équipiers connaissent, désormais, ma façon de jouer et cela me facilite les choses. Sur la pelouse, je suis dans une position confortable et qui me plaît.
Je ne me préoccupe pas du style de jeu de l’adversaire. Je me concentre sur le résultat final et fais en sorte qu’il soit en notre faveur. Pour cela, il faut jouer intelligemment et ne pas foncer les yeux fermés.
Pour revenir sur mon ancien club, Anderlecht, ils ont connu une mauvaise saison. Les débuts étaient bons et, malheureusement pour eux, les choses se sont empirées au fil des matches. Ils n’ont pu faire mieux que ce classement.
Je suis heureux à Charleroi et je serai présent à la reprise des entraînements. À défaut de disputer les PO1, nous avons disputé les PO2. Au final, l’objectif est le même : jouer l’Europa League, la saison prochaine. L’un dans l’autre, je ne peux dire quelle façon d’y arriver était la meilleure.
Dans tous les clubs, il y a de bonnes et de mauvaises choses. Anderlecht est le plus grand club de Belgique et il y a beaucoup d’attentes. Beveren se rapproche plus de Charleroi, l’ambiance et l’atmosphère y sont plus familiale."